Megumie ne vivait pas dans une de ces grandes et luxueuses maisons où la place ne manque pas. Elle demeurait dans une batisse simple au mobilier très humble. Lorsqu'on franchissait la porte d'entrée, on atterrissait dans un étroit couloir où un manteau est suspendu. La porte coulissante de papier blanc donnait sur la salle de séjour ou un canapé ivoire était disposé dans la pièce. Une petite table basse était située juste devant, entre le fauteuil et la cheminée. De l'encens brulait tranquillement sur un support placé par dessus cette cheminée. En avançant progressivement, on pouvait enfin découvrir un tapis de couleur terne. Avançant un peu plus, un sabre reposé sur la table, aiguisée, menaçant. Plus loin, la cuisine, d'où d'émanait des odeurs délicieuses de gâteries. Un escalier menait à l'étage, où deux petites chambres, l'une inhabitée, régnaient. Celle de Mégumie était très simple. Un lit, une table de chevet avec un livre épais et un crayon disposait juste à côté. La couverture noire était très lisse, sans plis. L'oreiller d'un blanc éclatant reposait sur le lit, majestueux. Malgrès la taille de cette demeure, elle était cependant très ien entretenue. Les fenêtres étaient régulièrement ouverte pour donner un air frais dans tout la maison. Pas un grin de poussière, pas une chose qui traîne...